"Mama forgot her name was Miracle"
Après l’excellent Radyo Siwèl en 2018, Mélissa Laveaux est de retour avec un nouvel et quatrième album studio : Mama Forgot Her Name Was Miracle, un disque spirituel, poétique et hautement émancipatoire.
Les berceuses me fascinent: un chant envoûtant, une quête métaphorique et mystique, une mélodie entraînante mais solennelle – le tout tissé par les doigts d’Orphée. Quand j’essaie de me les enfiler sous la langue, je ne suis pas sereine: je crie, je siffle, je fais saigner la guitare. Alors voici des berceuses pour adultes – des berceuses, avec du rythme, à rester debout. Des mélodies qui trainent avec vous toute la journée et qui vous possèdent la nuit. Mes protagonistes sont des héroïnes et parfois des héros qui n’avaient pas eu de fil conducteur, de plan architectural.
Des héroïnes qui n’ont pas eu de modèles et qui ont décidé de prendre le risque d’escalader le piédestal de la géante sans savoir ce qui les attendrait : la mort, la gloire ou les deux?
Mais surtout la liberté. Des chants de liberté, des prières, des sortilèges, des baumes de protection pour vos voyages douloureux.
Une co-réalisation Le Mans Jazz et les Quinconces
Chant, guitare : Mélissa Laveaux
Basse : Elise Blanchard
Batterie : Martin Wangermée
Guitare, clavier, flûte, saxophone, choeurs : Julien Cavard